On se demandait avant le départ de ce rallye Monte-Carlo si un constructeur allait dominer les deux autres pour l’entrée du championnat du monde dans l’ère hybride. Alors que cinq spéciales sur six ont été disputées ce vendredi, on a la réponse. Les Ford Puma sont clairement la nouvelle référence.
« Une voiture fantastique »
« Je ne trouve pas les mots pour décrire combien cette voiture est fantastique ! », s’est par exemple exclamé Gus Greensmith qui a profité de la 5e spéciale du jour pour signer le tout premier « scratch » de sa carrière. Les quatre premiers avaient été signés par Sébastien Loeb, littéralement en état de grâce au volant de cette nouvelle voiture, qui lui convient visiblement beaucoup mieux que la Hyundai, ces deux dernières années…
Ogier a repassé Evans
Alors qu’une spéciale de 17 km restait au programme des concurrents, le nonuple champion du monde dominait toujours les débats devant la Toyota d’Ogier (à 14,4 sec.) et qui a repris le meilleur sur son équipier Evans (à 15,2 sec.), tandis que Thierry Neuville pointait toujours en 4e position (Hyundai, à 50,8 sec.), mais désormais sous la menace de Breen (Ford, à 54,2 sec), et même de Tanak (Hyundai, à 57,8 sec.) et donc Greensmith (Ford, à 58,5 sec.).
Neuville : « Un peu plus en confiance »
« J’ai malheureusement eu mon système hybride qui s’est mis en sécurité, ce qui m’a privé de puissance, mais j’ai quand même fait de mon mieux dans cette spéciale », confiait Thierry Neuville à la sortie de cette avant-dernière difficulté de la journée. « Par ailleurs, les changements de réglages effectués ce midi ont tendance à me permettre d’être un peu plus en confiance avec la voiture. »
Source link Journal Belge
